L'ILET THIERRY
LE TOUR DES YOLES DE LA MARTINIQUE
QU'EST-CE QUE C'EST ?
Le tour de la Martinique des yoles rondes est l'évènement sportif le plus important de l'année en Martinique. Il a lieu tous les ans entre la fin du mois de juillet et le début du mois d'août.
Les courses de canots à voile, ont toujours existé à la Martinique : dans les temps anciens, les régates étaient disputées par les « gommiers », barques de pêche qui tirent leur nom de l'arbre dont elles sont construites. Les fêtes patronales étaient les occasions d'organiser des régates au plus grand plaisir de la population. Avec la raréfaction progressive du gommier des forêts martiniquaises, les yoles ont remplacé progressivement cette embarcation qui continue néanmoins sa carrière déjà fort longue. De façon naturelle, le phénomène de substitution dans le domaine de la pêche trouva son prolongement dans les courses.
En mai 1966, quatre yoles appelées Etoile, Frisson, Mouette et Odyssée tentent d’effectuer le tour de la Martinique. Avec l’aide de marins pêcheurs, les membres d’équipages atteignent leur objectif en cinq étapes. L’année suivante, l’opération est reconduite et le tour est bouclé en quatre étapes. Cependant, les difficultés de navigation sont telles que les protagonistes décident de mettre un terme à l’aventure. Elle s’achève en 1968.
La Société des Yoles et Gommiers de Courses de la Martinique a été créée en 1964 pour structurer ce milieu d'une popularité sans cesse grandissante, rapprocher les participants et faire respecter les règlements.
Le Tour de Martinique des yoles rondes, tel qu’on le connaît aujourd’hui, est l’œuvre de Georges Brival. En 1985, il organise le premier tour sous sa forme actuelle du dimanche 11 au jeudi 15 août. Huit équipages parcoururent les 110 milles de la course qui connut un succès inespéré. La course a lieu tous les ans depuis cette date.
LE TOUR DES YOLES 2013
Cette année, soit 29 ans après la création de cette évènement, ce sont 18 yoles rondes qui ont pris le départ du Marin.
Les différentes étapes :
Prologue - Dimanche 28 juillet 2013 - Marin
11h 15 Départ plage du bourg du Marin.
Bouée n°1 située à la pointe Borgnesse à laisser à bâbord.
Bouée n°2 située devant l’arrivée à laisser à tribord.
Bouée n° 3 au club Med à laisser à bâbord.
Bouée n°4 à la marina à laisser à bâbord.
Arrivée plage du bourg MARIN.
Etape 1 - Lundi 29 juillet 2013 - Marin/Vauclin
10h 00 Départ plage du bourg du MARIN.
Bouée n°1 aux Salines (Caye l’Eden) à bâbord.
Toutes les cayes et les îlets de la bouée n° 1 à la bouée n°2 sont à bâbord.
Bouée n°2 à la vierge de Macabou à bâbord.
Passage obligatoire dans le chenal du Vauclin (Passe du Vauclin).
Bouée n°3 à l’est de caye GAUDIN à bâbord.
Arrivée au bourg du VAUCLIN.
10h 00 Départ plage du VAUCLIN.Caye de la pointe du VAUCLIN à bâbord.Caye PINSONNELLE à Tribord.Les îlets OSCAR et THIERRY à bâbordPassage obligatoire à la porte sortie ESPACE SUD.
Bouée n° 1 située à l’ouest du LOUGAROU à bâbord.Passage entrée chenal du ROBERT.
Bouée n°2 située au milieu de la baie du ROBERT à tribord.Passage obligatoire à la pointe de l’écurie.Les îlets, table du Diable, l’îlet Lapin de la caravelle à bâbord.
Bouée n°3 située au sud de l’îlet Saint Aubin à bâbord.
Arrivée sur la plage des RAISINIERS.
09h 00 Départ plage des Raisiniers à TRINITE.Passage obligatoire entre la terre et l’îlet la perle.
Arrivée plage pointe de la Mar.
Etape 4 - Jeudi 1er août 2013 - Prêcheur/Fort de France
10h 00 départ plage du bourg de PRECHEUR.
Bouée n° 1 en face de l’hôtel CLUB MAROUBA à tribord.
Bouée n°2 devant le bourg de CASE PILOTE à tribord.
Bouée n°3 en face de la place des ARAWAKS à SCHOELCHER à tribord.
Bouée n°4 (Bouée Aimé Césaire) située au nord du Banc MITAN à bâbord.
Arrivée plage de la française FORT de FRANCE.
10h 00 Départ plage de la Française.
Bouée n°1 entrée port COHE sous le vent de la zone aéroportuaire à laisser à tribord.Passage obligatoire dans la porte entrée de l’ESPACE SUD au nord est de l’îlet de Ramier.L’îlet RAMIERS à laisser à bâbord.Passage entre la pointe du DIAMANT et le rocher du Diamant.
Bouée n° 2 en face de la plage grande d’Anse à laisser à bâbord.
Arrivée plage grande d’Anse DIAMANT.
10h 00 Départ plage grande Anse DIAMANT
Bouée n° 1 située en face la plage Anses Figuiers à tribord.
Bouée n°2 située en face du Club Med à tribord.
Arrivée Plage Pointe du Marin.
Etape 7 - Dimanche 4 août 2013 - St Anne/Marin
10h 00 Départ plage de pointe Marin (Sainte ANNE)
Bouée n° 1 située à corps de garde à bâbord.
Bouée n°2 située à l’anse Moustique à bâbord.
Bouée n°3 située à la pointe Borgnesse bâbord. Retour à la bouée n°1 à bâbord. Retour à la bouée n°2 à bâbord. Retour à la bouée n°3 à tribord.
Arrivée sur la plage du bourg MARIN
Classement général au temps
Place | Yole | Temps Etape | Temps Précédent | Temps total | Ecart |
1 | UFR - Chanflor | 02h53m45s | 19h43m24s | 22h37m09s | |
2 | Rosette - Orange | - | - | - | 0h51m05s |
3 | Brasserie Lorraine | - | - | - | 1h12m34s |
4 | Dr Roots - Zapetti | - | - | - | 1h30m19s |
5 | Leader Mat | - | - | - | 1h39m42s |
6 | Centre de Tri des Déchets | - | - | - | 2h09m25s |
7 | Mutuelle Mare Gaillard | - | - | - | 2h15m10s |
8 | Fiser - Locavroom | - | - | - | 2h19m02s |
9 | Diet Dicount | - | - | - | 2h23m20s |
10 | FOREVER / Julian's | - | - | - | 2h29m17s |
11 | GFA Caraïbes | - | - | - | 3h02m11s |
12 | SMEM Tiboug Energie | - | - | - | 3h39m10s |
13 | Tremplin's | - | - | - | 3h50m31s |
14 | Datex | - | - | - | 4h57m51s |
15 | Transports BONIFACE | - | - | - | 7h07m25s |
16 | ROYAL | 7h32m20s | |||
17 | Socara - Maaza | 7h50m23s | |||
18 | Mr Bricolage | 8h59m20s |
QUELQUES PHOTOS
QUE LA NATURE EST BELLE
SAINT MARTIN - SES PLAGES ET SES PLAGES....
PUERTO RICO
Ca y est me voilà repartie pour une semaine de découverte dans une autre île des Caraïbes : Porto Rico.
Porto Rico ou Puerto Rico est un Etat libre associé ax Etats-Unis avec un statut de commonwealth. Située dans les grandes Antilles, l'île est baignée au nord par l'Océan Atlantique et au sud par la mer des Caraïbes. Le territoire est constitué de l'île de Porto Rico proprement dite, ainsi que de plusieurs îles plus petites, dont Vieques, Culebra et Isal Mona.
Porto Rico est d’une superficie de 9104 km² soit environ d’une longueur de 170 km pour une largeur de 60 km.
San Juan, officiellement la municipalité de San Juan Bautista et également connue sous le nom de la Cité fortifiée est la capitale de Porto Rico.
San Juan est une ville divisée en deux, le vieux San Juan et le côté moderne avec ses grands hôtels pour touristes américains. Le vieux San Juan est vraiment le quartier dans lequel on se sent le plus à Porto Rico.
El Viejo San Juan, avec ses remparts :
Castillo de San Cristobal
Castillo San Felipe Del Morro
La cathédrale de San Juan
Le Capitol
Les rues du Vieux San Juan
Le quartier de Condado :
Quelques Plages :
Cabo Rojo :
Une plage, des salines, des falaises, un phare, magnifique...
Et si on faisait du shopping
Mes compagnons de route
Un petit Mojito
Regarder le degré d'alcool, juste affolant !
Un très bon restaurant dans le vieux San Juan
LA BAIGNOIRE DE JOSEPHINE
« La Baignoire de Joséphine », le plus célèbre de ces fonds blancs est une
langue de sable fin immergée à faible profondeur sise à quelques encablures des
ilets Thierry et Oscar dans la Baie du François.
Plusieurs légendes habillement relayées par les professionnels du tourisme
tentent d’apporter une explication à son appellation. Selon la première d’entre
elle, la baignoire de Joséphine s’appellerait ainsi en mémoire de l’impératrice
qui avait ses habitudes ici.
D’autres font remarquer que la future femme de
Napoléon, vivant au sud de l’île sur la commune des Trois-Ilets, devait avoir
d’autres lieux de baignade plus proche de chez-elle, et que le surnom viendrait
plutôt du nom d’un petit bateau dragueur de sable « La Joséphine » qui
s’approvisionnait ici. Une version plus prosaïque mais peut-être plus réaliste !
Quoi que ! Demandez à votre guide lors de votre prochaine visite, il y a fort à
parier qu’il vous livre quelques variations.
22 MAI - COMMEMORATION DE L'ABOLITION DE L'ESCALAVAGE
Le 22 mai 1848, quelques 60 000 esclaves de la Martinique se sont défaits de leurs chaînes, et de la servitude, donc le 23 mai 1848 ces êtres vécurent leur première journée d'hommes et de femmes libres. En souvenir ce jour, le 22 mai, est devenu à la Martinique le jour de la commémoration de l'abolition de l'esclavage. Cette date commémorative est fériée en Martinique, suite à la promulgation de la « loi commémorant l'abolition de l'esclavage dans les DOM ", du 24 novembre 1983. »
Un peu d’histoire :
Sous la Révolution française, les députés de la Convention abolissent l'esclavage une première fois pour calmer la révolte des esclaves dans les colonies des Antilles et empêcher l'Angleterre de s'en emparer.
Mais Napoléon Bonaparte abroge cette mesure le 20 mai 1802, sitôt acquise la paix avec l'Angleterre. Ce faisant, le Premier Consul répond à une demande du Sénat et cède à la pression de sa femme, Joséphine de Beauharnais, née Tascher de la Pagerie, originaire de la Martinique. En 1833, l'esclavage est définitivement aboli dans les colonies britanniques. La France attend l'avènement de la Deuxième République, quinze ans plus tard, pour suivre son exemple. Le décret d'abolition est publié grâce à la ténacité de Victor Schoelcher (44 ans) qui libère par décret 250.000 esclaves noirs ou métis aux Antilles, à la Réunion comme à Saint-Louis du Sénégal. Le décret, qui prévoit l'abolition dans un délai de deux mois, arrive dans les colonies quatre à cinq semaines plus tard. Mais sur place, les gouvernants des colonies et les planteurs ont en général pris les devants. La plupart des Blancs ont compris depuis longtemps que l'abolition était devenue inéluctable et s'y étaient préparés en multipliant les affranchissements. À leur manière, les esclaves ont aussi accéléré le mouvement. À Saint-Pierre, en Martinique, une insurrection a éclaté le 22 mai 1848, avant qu'ait été connue l'existence du décret. Même chose en Guadeloupe où le gouverneur abolit l'esclavage dès le 27 mai 1848 pour éteindre l'insurrection.
Conformément au décret de Schoelcher, les planteurs reçoivent une indemnité forfaitaire. Ils tentent aussi de reprendre la main en sanctionnant le «vagabondage» dans les îles à sucre : c'est une façon d'obliger les anciens esclaves à souscrire des contrats de travail. L'abolition dément les sombres prophéties des planteurs. Elle se traduit par un regain de l'activité économique dans les colonies. Victor Schoelcher va militer avec moins de succès contre la peine de mort. Exilé en Angleterre sous le Second Empire, il est élu député de la Martinique à l'avènement de la République puis devient sénateur inamovible jusqu'à sa mort, le 26 décembre 1893. En reconnaissance de son civisme, la République a transféré ses cendres au Panthéon.
ANSE MICHEL (SAINTE ANNE)
MARDI GRAS
Bon, je l'avoue, je n'y étais pas, mais j'ai récupéré quelques photos pour vous faire partager ces moments festifs.
Juste avant un petit rappel :
LE PAPA DIAB’ DU MARDI GRAS : Figure mythique du Carnaval, le papa diab’du Mardi Gras répond à quatre constantes immuables :
• le rouge de l’enfer
• les miroirs pour la connaissance
• la sagesse
• les cornes de bœufs pour la richesse temporelle
Un « papa diab » est un masque qui doit être harmonieux dans sa laideur. Il donne à celui qui le porte un pouvoir énorme. Toutes les audaces lui sont permises, il coupe le cortège, mène le vidé, attire tout le monde et donne une force inouïe. C’est lui le roi du Carnaval et c’est pourquoi « n’importe qui ne peut porter ce masque »…. Ce n’est qu’à partir du XIXème siècle qu’il est fait mention du diable rouge dans le Carnaval Martiniquais. Il est décrit à Saint Pierre comme vêtu de rouge et portant un masque hideux, couleur de sang et un bonnet dont les quatre angles sont formés par quatre miroirs, cette étrange coiffure est surmontée par une lanterne rouge. Il porte une perruque blanche en crins de cheval et déambule dans la rue entouré d’une cohorte d’enfants à qui il distribue bonbons et piécettes. Le décor est planté et le diable répond bien à ses caractéristiques : miroirs, crinière, aspect hideux contrebalancé par une distribution de bonbons aux enfants. Mais où sont les cornes de bœufs, gages de prospérité ?
A cette époque, le diable ne porte pas ou ne porte que deux cornes, par contre il traine derrière lui un bœuf, « le bœuf Mardi Gras » qui se doit d’être bien encorné. Très vite la fusion « bœuf Mardi gras » païen et diable chrétien s’opère pour ne produire qu’un seul personnage à tête de bœuf, portant miroirs, tout de rouge vêtu.
La déambulation du diable ne se fait pas au hasard. Il s’arrête devant la porte de certains foyers et lance le redoutable « Abbi, abbi, abbi, caïman, mi-diab’là dewo ». Pour la troupe cela signifie qu’il fustige les habitants du lieu et montre leur turpitude à la société.
De nos jours, la chose s’est un peu désacralisée et tout un chacun porte le masque de « papa diab » sans trop savoir ce qu’il représente. Il n’en demeure pas moins vrai que le Mardi Gras est le point culminant du Carnaval et le masque de diable rouge une spécificité Martiniquaise
Les photos de la parade du mardi gras à Fort-de-France :
KARNAVAL - DIMANCHE GRAS
Pour les jeunes enfants, attention, certaines photos peuvent choquer !!
Présentation de Vaval :
Et oui cette année c'est le mariage pour tous, sont-ils pour, puisqu'ils en ont fait leur vaval, ou contre, puisqu'ils vont le brûler mercredi des cendres ??
Et bien sûr le conflit Copé / Fillon
Cet appel d'urgence me fait penser au rhum : 50° - 55° et même 62° d'alcool
Avis à ceux qui parlent kréyol, pour les autres, faites une recherche...
UN DIMANCHE AU DIAMANT
Ah oui, le fruit à droite est une caïmite Originaire des Grandes Antilles, le caïmitier a conquis les Petites Antilles puis l'Amérique tropicale. Son nom provient de celui donné par les Indiens Taïmos.
Ce bel arbre, au port érigé de 6 à 30 m de haut, contient un latex blanc qui lui confère des propriétés médicinales. Il a la particularité d'avoir des feuilles vert brillante dessus et brun doré duveteuse dessous. Il se cultive à la fois pour sa valeur ornementale et pour son fruit qui se cueille car il ne tombe pas.
Le fruit globuleux a la peau épaisse verte ou pourpre selon les variétés. Une fois coupé en deux, on découvre une pulpe gélatineuse soit blanchâtre soit pourpre. En son centre, 4 à 10 graines brunes aplaties apparaissent dans une loge étoilée. La chair sucrée, douce sans acidité, s'apprécie à complète maturité sinon elle laisse un latex astringent autour des lèvres. Le fruit se prépare aussi en confiture.
Une vue du Diamant et du Morne Larcher
LA PECHE A LA SENNE
Elle se pratique depuis la plage avec un filet d’une longueur qui varie entre 200 et 600 mètres. C’est une technique de pêche collective qui implique la participation de nombreuses personnes ainsi que de plusieurs embarcations. Une fois la senne déployée en arc de cercle sur un fonds sableux, les tireurs sont chargés de haler celle-ci à terre.
Cette opération est dirigée par un maître senneur depuis une embarcation. Des plongeurs en apnée sont chargés d’éviter un accrochage au fond. Cette technique de pêche est en recul sensible et ne se pratique plus que sur quelques plages.
LA DOMINIQUE
L'Île de La Dominique (ne pas confondre avec la République Dominicaine) est une petite Ile des Caraïbes authentique à la nature exubérante. Montagnes, volcans, forêt tropicale, rivières, cascades, spas naturels, font de la Dominique « l'Ile Nature des Caraïbes » par excellence. C’est une destination incontournable pour les éco touristes et les amoureux de la faune et de la flore, mais aussi pour les plongeurs et tous ceux qui se sentent une âme d'aventurier.
Ils utilisent tous les produits à leur disposition pour proposer une cuisine locale enrichie d’un passé gastronomique important. En fait, la cuisine dominiquaise est un mélange de saveurs françaises, d’Afrique de l’Ouest et Caraïbes. On trouve dans tous les restaurants des spécialités créoles, crabe farci, souse ou buljow.
Ne manquez pas de goûter aux spécialités locales comme la Kubuli, bière locale très rafraîchissante, les différents punchs préparés à base de fruits frais et de rhum dominiquais et bien sûr, tous les jus de fruits frais proposés dans les gargotes.
Ces dernières vous assurent une production locale et des repas composés de poissons grillés, court-bouillon…dont les babines se délecteront.
L’île de la Dominique a un avantage certain, car c’est une île où tout le monde peut manger à sa faim grâce à une nature généreuse et à une solidarité très importante au sein de la population.
Envie de détente et relaxation en pleine forêt tropicale ? L’Ile de La Dominique vous invite à tenter l’expérience de ses spas naturels! Sa nature sauvage et son relief volcanique offre cette opportunité unique. L’eau est naturellement chauffée par le soufre qui jaillit du cœur de la terre. Cette eau fortement minéralisée est réputée mondialement pour ses bienfaits sur le corps: elle facilite la circulation du sang, adoucit la peau et diminue les douleurs musculaires et le stress.
Trafalgar Falls est en fait constitué de deux chutes adjacentes.
La plus haute nommée le Père et la plus petite, la Mère.
Populaires et faciles d’accès, elles offrent une vue extraordinaire.
Un chemin bien entretenu vous emmène de la route jusqu’à une plate- forme d’où vous pourrez voir les deux chutes et prendre des photos.
Si vous désirez vous approcher plus près, un chemin conduit à la base des chutes.
Il est déconseillé d’explorer le côté gauche du Père car il y a des risques d’éboulement.
Par contre n’hésitez pas à escalader les rochers et à nager dans le bassin au pied de la Mère!
Scott's Head, village de pêcheurs à la pointe sud ouest de l'île
Y a qu'à tendre le bras pour avoir un poisson !!
Si vous avez regardé Pirates des Caraïbes, vous n'avez sans doute pas oublié Titou Gorge :
Mabrika, ça veut dire bienvenue en kalinago, peuple indien de la Dominique qui possède une réserve de 7 villages où l'on peut y découvrir leur art de vivre
Pour plus de deux siècles, les forces coloniales ont tenté de prendre le contrôle de l'île mais les Kalinagos (Caribs) elles ont montré une résistance farouche. En raison de l'inaccessibilité de la côte et le terrain accidenté de l'île, les Caraïbesgos (Caribs) ont réussi à repousser les envahisseurs. L'île a changé de mains plusieurs fois, mais ils ont défendu leurs terres. En 1748, en vertu du traité d'Aix-La-Chapelle, BDanstain et la France ont reconnu la domination Kalinago de l'île et ont déclaré qu'elle était neutre et laissé sous le contrôle de la Kalinago. Ce traité a été de courte durée. Les Britanniques ont continué à déclarer la guerre à la kalinago. In 1763, les Britanniques ont pris le contrôle complet de la Dominique. Les Kalinagos se sont vus donner 232 acres de rivage montagneux et rocheux dans Salybia. En 1903, la quantité de terre a été élargie pour 3700 acres et fut appelée la réserve Carib; en outre, le chef Caribe a été reconnu officiellement.
Le peuple Kalinago avant l'arrivée de Christophe Colomb
Avant l'arrivée de Christophe Colomb les Kalinagos étaient des personnes autonomes. Les kalinagos ont survécu principalement par la pêche, chasse, et l'agriculture. Ils étaient des gens de métier qualifiés, leurs canots (faits dans des arbres immenses et creusés ; les gomiers) qui ont été utilisés pour voyager vers les îles voisines. Les Caraïbes ont aussi tissé des paniers et étaient célèbres pour leur phytothérapie. Ils parlaient leur propre langue et adoraient l'esprit de leurs ancêtres..
Si vous regardez bien en haut de la cascade, un homme fait sa lessive dans la rivière, et non ce n'est pas du folklore, on l'a revu d'autres endroits. Mesdames régalez-vous !!
Les morts ont une vue exceptionnelle sur l'océan
Tous les matériaux utilisés par le peuple Caraïbe/Kalinago sont venus de la terre autour d'eux. Leurs maisons sont de plusieurs types.
Ajoupa: La base ajoupa, qui était ressemblant à un hangar ou “appentis” structure faite pour abriter une table de cuisson ou de manioc font d'un abri facilement conditionnés dans la forêt comme un camp de chasse et canot construction. Cela a été fait d'environ quatre poteaux robustes ancrées dans le sol et par deux autres postes et un faisceau-croisement. Fines lattes de bois ont été placées dans cette trame qui était ensuite recouverte avec des feuilles de balizier ou de divers types de feuilles de palmier de forêt. Les bâtiments ont été attachées ensemble avec corde d'écorce maho.
Maho: Les Caraïbes regroupés les plantes selon leurs utilisations et toute plante avec une écorce capable de faire de la corde a été décrit comme un “Maho”. Les français ont pris la parole et il a écrit à leur façon: “Mahaut”. Puisqu'il n'y a aucun clous ou des fils ou des boulons, tout ce qui était lié avec maho. Poteaux de la maison, chaume de la toiture, hamacs, sangles de têtes pour le transport de charge, pour attacher des choses à canots, cordes d'ancrage, net de cordes et de transport, tout dépend de maho. Père Breton écrit dans son dictionnaire de la Caraïbe, “En bref, Je ne crois pas qu'ils pouvaient exister sans maho”. En botanique scientifique occidentale la Mahaut se trouve dans divers végétaux familles: Cordia (Boraginaceae), Paon et Hibiscus (Malvaceae), Triumfetat (Tiliaceae) et Sterculia (Sterculiaceae).
Karbay: Également écrit en français “Carbet”. Un terme utilisé par les français pour décrire la maison de la réunion principale et les colonies des Caraïbes. Les Caraïbes appelé cette maison “Taboui”, mais les colons français ont repris le nom “Karbay” quand ils avaient vécu parmi la tribu Tupi-guarani d'Amérindiens du Brésil. Les français ont aussi apporté beaucoup de gens Tupi-guarani du Brésil à travailler pour eux en Martinique, Dominique et en Guadeloupe. Ces gens utilisé leur propre langage pour décrire les choses familières qu'ils ont vu en Dominique. Plusieurs mots qui sont aujourd'hui passés au large comme Carib ont leurs origines dans la langue Tupi-guarani.
Le Karbay était un grand bâtiment, dans la plupart des cas sur 60 pieds de long et 30 pieds de largeur. Elle a été faite de hauteur autour de poteaux de bois et a une forme ovale avec un grand toit raide. Les postes qui appuie le toit furent également utilisés pour attacher les hamacs pour dormir. Le toit était en chaume avec des feuilles de palmier ou les feuilles de “roseaux” roseaux.
L'escalier tête-chien : beaucoup de légendes autour de cet escalier, certains disent qu'il s'agit d'un serpent qui a surgi de la mer et grimpé en haut de la montagne
Zion Valley
Repas végétarien dans une calebasse
Un voyage à faire et à refaire tellement les dominicains sont généreux et la Dominique luxuriante de végétation et de trésors !!
Un grand merci à Pancho et à Jones nos guides et amis pour ces 4 jours inoubliables !