LA DOMINIQUE
L'Île de La Dominique (ne pas confondre avec la République Dominicaine) est une petite Ile des Caraïbes authentique à la nature exubérante. Montagnes, volcans, forêt tropicale, rivières, cascades, spas naturels, font de la Dominique « l'Ile Nature des Caraïbes » par excellence. C’est une destination incontournable pour les éco touristes et les amoureux de la faune et de la flore, mais aussi pour les plongeurs et tous ceux qui se sentent une âme d'aventurier.
Ils utilisent tous les produits à leur disposition pour proposer une cuisine locale enrichie d’un passé gastronomique important. En fait, la cuisine dominiquaise est un mélange de saveurs françaises, d’Afrique de l’Ouest et Caraïbes. On trouve dans tous les restaurants des spécialités créoles, crabe farci, souse ou buljow.
Ne manquez pas de goûter aux spécialités locales comme la Kubuli, bière locale très rafraîchissante, les différents punchs préparés à base de fruits frais et de rhum dominiquais et bien sûr, tous les jus de fruits frais proposés dans les gargotes.
Ces dernières vous assurent une production locale et des repas composés de poissons grillés, court-bouillon…dont les babines se délecteront.
L’île de la Dominique a un avantage certain, car c’est une île où tout le monde peut manger à sa faim grâce à une nature généreuse et à une solidarité très importante au sein de la population.
Envie de détente et relaxation en pleine forêt tropicale ? L’Ile de La Dominique vous invite à tenter l’expérience de ses spas naturels! Sa nature sauvage et son relief volcanique offre cette opportunité unique. L’eau est naturellement chauffée par le soufre qui jaillit du cœur de la terre. Cette eau fortement minéralisée est réputée mondialement pour ses bienfaits sur le corps: elle facilite la circulation du sang, adoucit la peau et diminue les douleurs musculaires et le stress.
Trafalgar Falls est en fait constitué de deux chutes adjacentes.
La plus haute nommée le Père et la plus petite, la Mère.
Populaires et faciles d’accès, elles offrent une vue extraordinaire.
Un chemin bien entretenu vous emmène de la route jusqu’à une plate- forme d’où vous pourrez voir les deux chutes et prendre des photos.
Si vous désirez vous approcher plus près, un chemin conduit à la base des chutes.
Il est déconseillé d’explorer le côté gauche du Père car il y a des risques d’éboulement.
Par contre n’hésitez pas à escalader les rochers et à nager dans le bassin au pied de la Mère!
Scott's Head, village de pêcheurs à la pointe sud ouest de l'île
Y a qu'à tendre le bras pour avoir un poisson !!
Si vous avez regardé Pirates des Caraïbes, vous n'avez sans doute pas oublié Titou Gorge :
Mabrika, ça veut dire bienvenue en kalinago, peuple indien de la Dominique qui possède une réserve de 7 villages où l'on peut y découvrir leur art de vivre
Pour plus de deux siècles, les forces coloniales ont tenté de prendre le contrôle de l'île mais les Kalinagos (Caribs) elles ont montré une résistance farouche. En raison de l'inaccessibilité de la côte et le terrain accidenté de l'île, les Caraïbesgos (Caribs) ont réussi à repousser les envahisseurs. L'île a changé de mains plusieurs fois, mais ils ont défendu leurs terres. En 1748, en vertu du traité d'Aix-La-Chapelle, BDanstain et la France ont reconnu la domination Kalinago de l'île et ont déclaré qu'elle était neutre et laissé sous le contrôle de la Kalinago. Ce traité a été de courte durée. Les Britanniques ont continué à déclarer la guerre à la kalinago. In 1763, les Britanniques ont pris le contrôle complet de la Dominique. Les Kalinagos se sont vus donner 232 acres de rivage montagneux et rocheux dans Salybia. En 1903, la quantité de terre a été élargie pour 3700 acres et fut appelée la réserve Carib; en outre, le chef Caribe a été reconnu officiellement.
Avant l'arrivée de Christophe Colomb les Kalinagos étaient des personnes autonomes. Les kalinagos ont survécu principalement par la pêche, chasse, et l'agriculture. Ils étaient des gens de métier qualifiés, leurs canots (faits dans des arbres immenses et creusés ; les gomiers) qui ont été utilisés pour voyager vers les îles voisines. Les Caraïbes ont aussi tissé des paniers et étaient célèbres pour leur phytothérapie. Ils parlaient leur propre langue et adoraient l'esprit de leurs ancêtres..
Si vous regardez bien en haut de la cascade, un homme fait sa lessive dans la rivière, et non ce n'est pas du folklore, on l'a revu d'autres endroits. Mesdames régalez-vous !!
Les morts ont une vue exceptionnelle sur l'océan
Tous les matériaux utilisés par le peuple Caraïbe/Kalinago sont venus de la terre autour d'eux. Leurs maisons sont de plusieurs types.
Ajoupa: La base ajoupa, qui était ressemblant à un hangar ou “appentis” structure faite pour abriter une table de cuisson ou de manioc font d'un abri facilement conditionnés dans la forêt comme un camp de chasse et canot construction. Cela a été fait d'environ quatre poteaux robustes ancrées dans le sol et par deux autres postes et un faisceau-croisement. Fines lattes de bois ont été placées dans cette trame qui était ensuite recouverte avec des feuilles de balizier ou de divers types de feuilles de palmier de forêt. Les bâtiments ont été attachées ensemble avec corde d'écorce maho.
Maho: Les Caraïbes regroupés les plantes selon leurs utilisations et toute plante avec une écorce capable de faire de la corde a été décrit comme un “Maho”. Les français ont pris la parole et il a écrit à leur façon: “Mahaut”. Puisqu'il n'y a aucun clous ou des fils ou des boulons, tout ce qui était lié avec maho. Poteaux de la maison, chaume de la toiture, hamacs, sangles de têtes pour le transport de charge, pour attacher des choses à canots, cordes d'ancrage, net de cordes et de transport, tout dépend de maho. Père Breton écrit dans son dictionnaire de la Caraïbe, “En bref, Je ne crois pas qu'ils pouvaient exister sans maho”. En botanique scientifique occidentale la Mahaut se trouve dans divers végétaux familles: Cordia (Boraginaceae), Paon et Hibiscus (Malvaceae), Triumfetat (Tiliaceae) et Sterculia (Sterculiaceae).
Karbay: Également écrit en français “Carbet”. Un terme utilisé par les français pour décrire la maison de la réunion principale et les colonies des Caraïbes. Les Caraïbes appelé cette maison “Taboui”, mais les colons français ont repris le nom “Karbay” quand ils avaient vécu parmi la tribu Tupi-guarani d'Amérindiens du Brésil. Les français ont aussi apporté beaucoup de gens Tupi-guarani du Brésil à travailler pour eux en Martinique, Dominique et en Guadeloupe. Ces gens utilisé leur propre langage pour décrire les choses familières qu'ils ont vu en Dominique. Plusieurs mots qui sont aujourd'hui passés au large comme Carib ont leurs origines dans la langue Tupi-guarani.
Le Karbay était un grand bâtiment, dans la plupart des cas sur 60 pieds de long et 30 pieds de largeur. Elle a été faite de hauteur autour de poteaux de bois et a une forme ovale avec un grand toit raide. Les postes qui appuie le toit furent également utilisés pour attacher les hamacs pour dormir. Le toit était en chaume avec des feuilles de palmier ou les feuilles de “roseaux” roseaux.
L'escalier tête-chien : beaucoup de légendes autour de cet escalier, certains disent qu'il s'agit d'un serpent qui a surgi de la mer et grimpé en haut de la montagne
Zion Valley
Repas végétarien dans une calebasse
Un voyage à faire et à refaire tellement les dominicains sont généreux et la Dominique luxuriante de végétation et de trésors !!
Un grand merci à Pancho et à Jones nos guides et amis pour ces 4 jours inoubliables !